Bienvenue à Wisteria Lane dans un nouvel épisode des Desperate Housewives. On s'y croirait...
L'auteure suit ici la même veine que Liane Moriarty avec Petites secrets et grands mensonges et Le secret du mari mais... en moins bien, je trouve. Le plus intéressant dans le roman est la peinture au vitriol de ce microcosme qu'est une rue proprette et résidentielle dans un coin des Etats Unis, avec ses habitants bien sous tous rapports en apparence, se réunissant périodiquement pour des barbecues dans leus jardins parfaitement entretenus. Mais j'ai eu une impression de déjà lu et l'intrigue qui s'y rajoute est uinutilement tarabiscotée et vraiment longuette. Ce que j'ai aimé, qui m'a fait vraiment sourire, ce sont les communiqués qu'envoie régulièrement Cindy à ses voisins, via l'association des résidents qu'elle a créée : absurde, hilarant et jouissif tant elle entend tout régenter sous couvert de bonnes intentions et d'un ton perpétuellement enjoué.
Comme je n'ai toujours pas lu Lise Moriarty, je m'abstiens de noter.
RépondreSupprimerTu peux, oui !
Supprimer