Odette, Clarice, Barbara Jean... ces trois jeunes filles noires se sont rencontrées à l'adolescence dans leur petite ville de l'Indiana et sont devenues inséparables, d'où leur surnom de Suprêmes. Elles ont aujourd'hui la cinquantaine, se voient toujours tous les dimanches dans le restaurant qui leur sert de QG, se rémémorant les souvenirs du bon vieux temps, dynamiques, truculentes et solidaires toujours même si la vie ne les a pas épargnées...
Elles vont devenir vos meilleures amies claironne la couverture... alors, comment dire, c'était plutôt mal engagé dans la mesure où, à un quart du livre, je me suis sérieusement demandée si je ne n'allais pas tout simplement les abandonner là ! Mais bon, pour que j'en arrive à lâcher un livre avant la fin, il faut que je trouve ça vraiment nul ou trop mal écrit ou incompréhensible et là, rien de tout ça... non, juste un léger ennui et un mot qui s'imposait doucement à mon esprit : gentillet ! Et puis, j'ai continué encore un peu et j'ai fini par me laisser porter jusqu'au bout par les histoires de ces trois là avec un peu plus de plaisir voire même une pointe de tendresse...
Voilà, je n'ai pas grand chose d'autre à en dire, même si j'ai fini par les trouver sympathiques, les Suprêmes ne sont pas devenues mes meilleures amies car j'ai bien peur de les oublier assez vite, à l'inverse des bonnes de La couleur des sentiments, la comparaison entre les deux romans étant avancée par certains...
Cathulu et
Clara ont été bien plus séduites que moi !