Emma, milanaise indépendante de 50 ans, vient de plaquer son ancien métier de traductrice pour ouvrir une librairie, un peu particulière, dédiée aux seuls romans d"amour. Le hasard faisant bien les choses, c'est là qu'elle retrouve un jour l'amour de ses 20 ans : Federico. Marié, architecte, il vit maintenant à New-York ... entre eux, une étrange relation d'amour redémarre, faite essentiellement de lettres échangées en secret.
Bon alors évidemmment, j'arrive après la bataille puisque quasiment tout la blogosphère l'a lu et commenté depuis belle lurette ! Commentaires pas toujours très flatteurs d'ailleurs ... Du coup, je n'en ai pas fait une priorité mais une fois sorti en poche, difficile quand même de passer complètement à côté de cette histoire épistolaire de libraire amoureuse. Ce que j'ai à en dire ne va pas pourtant pas être bien nouveau ni original : j'ai trouvé ça quand même pas mal longuet et par moments, je me suis ennuyée, évaluant le nombre de pages qui me restait car très impatiente en plus de commencer Un bûcher sous la neige ... les digressions interminables de Federico sur l'architecture m'ont donc un tantinet lassée et, comme bon nombre d'entre vous, j'ai trouvé que le succès constant et sans difficulté aucune de la librairie Rêves&sortilèges était vraiment trop beau pour être crédible ! Rêves&Sortilèges, quel nom aussi... qui me donnerait tout sauf envie, je crois, un peu cucul, comme ce parti pris de ne proposer QUE des livres d'amour, classés dans des catégories disons ... surprenantes parfois, non ? Bon, ça c'est fait, comme on dit ... et si je l' ai classé dans la catégorie " Je n'ai pas aimé mais " c'est que je ne dis pas non plus que tout est à jeter! La personnalité de cette Emma m'a tout de même intéressée et touchée, comme ses rapports avec son fils ou avec ses amis/collègues de la librairie et quelques pages m'ont même émue et puis ... comment dénigrer totalement un roman qui tourne essentiellement autour des livres et de l'amour en littérature, hein ?
Allez et pour finir sur un dernier point plus positif , je trouve plutôt maligne et bien réalisée l'idée de la librairie virtuelle, telle que dans le roman, sur le site de Paola Calvetti : ici !
Donc, c'est certain, celui-ci ne viendra pas encombrer mes étagères... (En parlant de mes étagères, j'ai ma copine L : ouille,la pile à lire dans l'urgence a , d'un seul coup,pris une sacrée hauteur !)
RépondreSupprimerIl me semblait avoir lu de bonnes critiques à son sujet, mais je puis que je l'ai acheté, c'est le contraire!! :)
RépondreSupprimerJe fais partie des rares qui ne l'ont pas lu... et je crois que je m'en passerai, même si ça rentre dans le cadre d'un certain nouveau défi....
RépondreSupprimerCécile : mieux vaut que tu passes sur celui-ci alors, c'est sûr ! ;-)
RépondreSupprimerJules : aïe !!! ;-))
Kathel : vu la liste impressionnante d'idées que tu as notées pour ton défi...oui, sans hésitation !!! :-D
Un roman décevant, dont j'avais lu la fin en diagonale.
RépondreSupprimer@ Kathel : entièrement d'accord avec Véronique : tu peux tout à fait te dispenser de cette lecture !
Ah ... toi aussi , tu as été déçue !
RépondreSupprimerMoi , j'ai plutôt eu un regain d'intêret sur la fin mais l'impression générale reste plutôt décevante, oui !
J'ai aimé le côté librairie comme on aime les carambars qui collent aux dents, même si c'était trop sucré. Par contre le Federico ... des claques ou des épingles pour le faire bouger auraient été les bienvenues. Très dispensable.
RépondreSupprimerC'est vrai que ... comment résister à cette partie-là, quand même ? ;-)
RépondreSupprimerJ'ai bien reçu Au nord du monde ce matin ...
Bisous et bon week
Plus aucun souvenir ;-(
RépondreSupprimerComme quoi ... ce n'est pas la peine de s' y attarder !
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